Le char à bœuf

60x80cm / huile sur toile

 

Sillonner la prairie de parures habillée, inépuisable est l’été,

Navigue le char, vente en tempête le bois séché,

La forêt applaudit la sueur oubliée des ondées de l’hiver,

Offre sans compter les enfants du désir à la cuisinière.

 

La terre assoiffée par les souvenirs, le vert est éphémère,

Sonne la joie, éclats des songes lointains de mer,

Mêlés aux voix, rugissent en vagues le désir de môme, 

Endormi dans le temps de la vie simple des hommes.

 

Claude René Tarrit